Là où elles étaient implantées, elles ne passaient pas inaperçues. Elles ne pouvaient pas non plus nous laisser indifférent·es. D’une hauteur et d’une longueur certaines, d’une apparence parfois brute, ces constructions d’une époque révolue ont marqué plusieurs générations et fait naître des histoires de vie.
Permettre l’accès à un logement digne et moderne, à des prix abordables, telle était l’équation recherchée. Mais cela n’aura même pas duré trois générations. Ces bâtiments avaient-ils été construits dans un but aussi court-termiste ? Avons-nous laissé faire le temps sans prendre soin de ces lieux ? Des politiques en matière de logement et d’habitat ont-elles détourné le regard de ces grands ensembles pour, à un moment, choisir d’en finir avec eux ?
Ce mois-ci, le Ch’ni vous propose une virée en arrière, dans les derniers mois, les deniers jours et les dernières heures des barres des 408 et de Fontaine-Écu.
Les 408






À Fontaine-Écu




